Abstract
Des coefficients de transfert thermique en convection naturelle sont mesurés sur un cylindre court et horizontal fixé à une plaque verticale isotherme de façon que la plaque et le cylindre forment une paroi d’un canal vertical. Le canal est ouvert à l’ambiance au sommet comme à la base, et à part de la plaque et du cylindre les autres parois ne sont pas directement chauffées. On trouve que des coefficients de transfert substantiellement plus élevés peuvent être atteints dans le mode d’écoulement de canal que dans le mode d’écoulement externe (par exemple pour une plaque et un cylindre face à un espace largement ouvert). On mesure des accroissements allant jusqu'à soixante pour cent. L’augmentation est maximale lorsque le conduit est aussi étroit que possible et quand lecylindre est positionné près de l’extrémité la plus basse de la plaque. Les propriétés radiatives de la surface des parois non chauffées du canaljouent aussi dans le degré d’accroissement, avec des surfaces noires conduisant à un plus grand accroissement en vertu de leur température plus élevée, source de convection naturelle.
Original language | English (US) |
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Pages (from-to) | 881-889 |
Number of pages | 9 |
Journal | International Journal of Heat and Mass Transfer |
Volume | 26 |
Issue number | 6 |
DOIs | |
State | Published - 1983 |